Aurore LERICHE comédienne/chanteuse Aurélie LOPEZ comédienne/chanteuse Cécile MAURICE comédienne/chanteuse Christophe ANDRAL comédien/metteur en scène Julien LOT comédien/régisseur technique
Les Fillharmonic ont décidé de démocratiser la musique classique, coûte que coûte et par tous les moyens. Chansons live, bruitages, boucles sonores, samples rythmiques, le tout au service, enfin presque, de Mozart, Beethoven, Bizet, … et tous nos illustres classiques se font une nouvelle jeunesse.
Mais les quatre personnages vont vite se retrouver à l’étroit et dévoiler leur vraie nature, faisant voler en éclats les conventions.
Un spectacle symphonique et décalé pour vous réconcilier avec la musique classique… (ou pas !).
Zed Van Traumat : chant Nicolas Domenech : contrebasse Vincent Mouchès : guitares Didier Ottaviani : batterie Guillaume Schmidt : saxophones
Dans une langue baroque et populaire, il vous balance en plein cœur ses chansons à la fois tendres et saignantes, souvent à la limite de la transgression. Il dissèque le monde avec une réelle richesse d’âme, un regard lucide, un humour qui met du baume à nos douleurs, une candeur affirmée face au cynisme de ce siècle.
Zed van Traumat est un animal de scène qui fait vivre ses mots de tout son être. Habité par chacun d’eux, il les lance à la gourmandise avide d’un public qui ne s’y trompe pas.
Il est accompagné par quatre musiciens de jazz hors pairs.
Florent Gourault : chant Adrien Rodriguez : contrebasse Lucas Lemauff : piano
« Ces trois garçons aiment la chanson ; ils revendiquent un goût pour Juliette, Allain Leprest et Loïc Lantoine. Je les ai écouté lors d’une de nos auditions publiques « Osons », et j’ai été séduit autant par le futur qu’on leur pressent (ils ont 23 ans) que par la passion qu’ils mettent à clamer leurs histoires. Il y a un souffle épique et une belle alchimie entre un travail musical très épuré et un chant musclé. C’est de la chanson à rêver, des images superbes, des révoltes magnifiées, des révolutions poétiques. » Philippe Pagès – Le Bijou – Toulouse
Ils élaborent leur cuisine en mélangent les textes avec une contrebasse omniprésente et un piano filmique. L’ensemble est un conte. Mélange de quotidien et de fiction. Sur scène, Pauvre Martin distribue les images et les sentiments, il est tantôt un pierrot avec une plume pour vous dire sa poésie, tantôt un épouvantail pour déranger vos esprits.
Oreilles délicates et allergiques aux trop bons mots s’abstenir : les Malpolis portent leur nom à merveille… Manipulateurs de bêtises malignes, de mélodies chatouillantes qui adoreraient être agaçantes, ces 3 toulousains ont aiguisé leur vingtième degré, leur humour sans soupape et leur activisme engagé.
Leurs mélodies-ritournelles et leur faculté à passer de l’ironie la plus finement ciselée à la satire sans fioritures ont déjà conquis des publics variés. La scène est leur véritable terrain de jeu, un spectacle jubilatoire entre théâtre et chanson.
Réjouissez-vous, et attendez-vous joyeusement au pire !
Mise en scène : Jean Michel Hernandez Participation aux arrangements musicaux : Paul Pace et Joby Daclinat Muriel Morelle : Conte et musique et interprétation solo
Sur une île quelque part dans les caraïbes…. Il était un petit homme qui avait une drôle de maison… Il reçoit en visites surprises des animaux sortis tout droit des fables de Jean de la Fontaine. Entre ici et là bas… Comme un passeur de mots, de sons, de chansons et d’émotions, cette histoire nous entraîne vers d’autres horizons… Elle construit un pont musical et culturel pour naviguer sur l’océan des richesses traditionnelles entre la Métropole et la Martinique…
Texte de Suzanne Lebeau Mise en scène de François Fehner Avec Inès Fehner et Joachim Sanger
L’Ogrelet vit seul avec sa mère dans une maison au cœur d’une forêt dense, à l’écart de la communauté villageoise. Malgré ses craintes, cette mère protectrice doit se résigner à envoyer son unique fils vers l’école où, au contact des autres enfants, il va découvrir sa différence, puis sa terrible hérédité : il est le fils d’un Ogre qui a quitté le foyer pour ne pas être tenté de dévorer son fils (après avoir dévoré toutes ses filles !).
Dès lors, l’Ogrelet devra apprendre à apprivoiser ses désirs et ses pulsions pour s’adapter au monde des hommes. Et il devra faire ce chemin seul, en affrontant trois redoutables épreuves…
Mise en scène : Gilles CAILLEAU Avec Thomas REUDET
C’est un homme, il est venu au milieu de la piste. Personne ne l’y obligeait, il est venu de son plein gré. Il est venu parce qu’il avait envie de raconter des histoires. Comme il ne savait pas comment, il a tout apporté, il n’a rien laissé au vestiaire. Bref ! Il est venu tout entier.
Autour de lui, des gens. Il pourrait les prendre pour des spectateurs, mais non, il sait bien qu’ils sont beaucoup plus que ça, que ce sont des gens. Qu’ils sont venus tout entiers, eux aussi. Qu’ils ont presque aussi peur que lui de ce qui va naître. Qu’ils ne se ressemblent pas.
Il aimerait bien les connaître. Ils sont à deux pas de lui, juste au bord de la piste, dans l’ombre, mais pas dans le noir. C’est tentant. Alors, quand il a dit bonjour à tout le monde, il met une robe de princesse, prend son petit violon, et le spectacle commence.
Pour un marionnettiste, un musicien et une dizaine de marionnettes
A l’orée d’un bois, le Petit Chaperon Rouge rencontre Wolf, un loup déguisé en caporal. Il lui apprend la triste vérité : elle est UF et, comme pour tous les Ufs petits et grands, tout ou presque lui est interdit.
Plus la pièce avance, plus les droits de la petite s’amenuisent et l’on observe ces scènes avec un sentiment de révolte mitigé, d’autant plus amusé que le ridicule du loup ne cesse de s’accentuer et que les dialogues de sourds abondent. La transposition politique et historique ne souffre d’aucune imperfection et le message transparait avec vigueur.
Jean-Claude Grumberg revisite avec humour le célèbre conte populaire qui, sous sa plume, devient une parabole douce-amère sur l’intolérance.
Depuis des années, Wally creuse un sillon à part dans le monde du spectacle. À la fois chanteur, musicien, humoriste, faiseur de « chansons courtes » et autres petits monologues, on ne sait jamais vraiment comment le définir.
Dans ce dernier spectacle, Wally n’est plus seul sur scène puisqu’il a pour partenaire un écran ! Après s’être revendiqué du Music-hall, Wally met le pied dans le 21è siècle et devient enfin multimédia…
Petite précision de Wally : « J’aurai toujours ma guitare en bois… »
Avec Philippe COSTES Dirigé par Nathalie CLERJEAU Musique de Jean-Benoît NISON
Seul en scène un comédien nous livre l’intimité de Karl Marx, ses œuvres, ses pensées, ses colères, ses faiblesses, son arrogance et sa rage contre le capitalisme d’hier et d’aujourd’hui.
L’auteur, Howard Zinn, est professeur d’histoire politique à la Boston University aux Etats Unis. Son œuvre est consacrée à l’incidence des mouvements populaires sur l’histoire et la société, dont « Karl Marx, le retour » est un reflet.